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Très contesté sur la suppression de l’ISF, coupable de supprimer des emplois, le Président tient le cap fixé. Emmanuel Macron a tenu à défendre la mesure, soulignant qu’elle n’était pas une « suppression » de l’ISF, mais une modification, avec une contribution basée sur le patrimoine immobilier. L’exemption du patrimoine financier a ainsi pour objectif d’« encourager l’investissement, l’activité des usines, la production »
En revanche, il a décidé de revenir sur une des mesures fortes du début de mandat, l’augmentation de la CSG pour les retraités et la non-indexation des retraites sur l’inflation. « Au 1er janvier prochain, je souhaite que nous réindexions les retraites de moins de 2 000 euros », a indiqué le chef de l’État.
Concernant le régime de retraite, le président ne souhaite pas reculer l’âge légal de départ, aujourd’hui fixé à 62 ans tout en souhaitant que « la retraite minimale » pour une carrière complète soit portée à 1 000 euros. Mais il veut aussi améliorer le minimum vieillesse en le relevant à 900 euros dès l’an prochain.
Sur le plan social et économique, Emmanuel Macron a appelé à « travailler davantage » pour financer la baisse d’impôts, notamment ceux sur le revenu, qu’il veut « baisser significativement ». Le chef de l’État a également annoncé la reconduction de la prime exceptionnelle de fin d’année « sans charges ni impôts » versée aux salariés, pour « que le travail paye » et contribue ainsi à « corriger les injustices ».

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