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Moins d’un indépendant sur deux est protégé par un contrat individuel de prévoyance complémentaire. Les TNS et les dirigeants de TPE connaissent toujours aussi peu leur protection réelle et les montants qui leur seraient effectivement versés en cas de coup durs.

Selon une enquête menée pour le compte de MetLife France, les indépendants se sentent toujours bien protégés par leur régime obligatoire de prévoyance, notamment en cas d’arrêt de travail (42 %), d’invalidité (48 %) et de décès (53 %).

Du coup, moins d’un indépendant sur deux (48 %) est protégé par un contrat individuel de prévoyance complémentaire.

Pour autant, les TNS et les dirigeants de TPE connaissent toujours aussi peu leur protection réelle et les montants qui leur seraient effectivement versés en cas de coup durs.

Ils sont seulement 29 % à les connaître pour le risque d’incapacité, 22 % pour l’invalidité et 17 % pour le décès. Ceux qui se sont équipés au cours des deux dernières années – la précédente enquête remonte à 2018 – ont été motivés avant tout par le fait de vouloir diminuer les risques inhérents au statut (55 %), devant le besoin de protection de la famille (49 %).

À ce titre, MetLife souligne que l’attitude « défensive » de ces dirigeants l’emporte sur le caractère « positif » et sur les gains en sérénité qu’ils pourraient retirer de la souscription d’une prévoyance complémentaire, item qui reçoit peu de suffrages.

Reste que le prix constitue le principal frein évoqué pour la souscription d’un contrat. MetLife avance l’idée que le rapport « bénéfice perçu / prix » est encore perçu comme trop faible par ces acteurs économiques qui ne s’estiment pas sous-équipés mais ont déjà le sentiment de devoir faire face à de lourdes charges.

L’étude signale, par ailleurs, que l’agent général d’assurance et le banquier restent les principaux interlocuteurs en la matière, loin devant le courtier (12 %) et le CGP (6 %).

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