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Grâce à la combinaison de plusieurs mesures récemment adoptées en France telles que la baisse programmée du taux d’IS, la suppression de la taxe de 3 % sur les dividendes et l’introduction du prélèvement forfaitaire unique à 30 % (PFU), la situation s’améliore significativement et devrait, à l’horizon 2022, combler l’écart de compétitivité dont souffraient les entreprises françaises par rapport aux entreprises britanniques et allemandes.

C’est même au détriment des entreprises britanniques et de façon plus significative (de l’ordre de 20 %), que joue désormais l’écart de compétitivité en matière de financement par fonds d’emprunts. Ainsi, pour servir un revenu net de 100 à l’apporteur de fonds d’emprunts disposant d’un revenu élevé, l’entreprise française qui devait produire un résultat brut de 282 en 2016 ne doit plus produire que 152 en 2018-2022. Elle se rapproche ainsi de la compétitivité de l’entreprise allemande (136) et distance même largement l’entreprise britannique (182). Un écart de compétitivité demeure néanmoins au détriment des entreprises françaises s’agissant du financement par fonds propres mais il est désormais limité (de l’ordre de 5 %)

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