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Bonne nouvelle, une fois à la retraite, vos impôts vont baisser.

Première raison, les revenus bruts de la retraite comme les pensions sont moins taxés que les revenus du travail car elles font l’objet d’une Contribution sociale généralisée (CSG) plus basse, et de pas – ou très peu – de charges sociales.

Le taux de la CSG applicable aux pensions de retraite varie selon le montant de votre Revenu fiscal de référence. Il existe 4 seuils, allant d’une exonération totale pour les petites pensions, à 8,30 % de votre pension.

Les barèmes de l’impôt sur le revenu s’appliquent de la même façon sur les pensions de retraite et sur les revenus du travail, de même que l’abattement de 10 % qui est automatiquement appliqué par l’Administration fiscale.

Petite différence, tout de même, les plafonds passent de 12 652 euros à 3 858 euros par foyer. De même, les montants de déduction minimum passent de 442 euros à 394 euros par personne Point d’attention lors de son départ en retraite, sur les indemnités de fin de carrière versées.

L’imposition des IFC dépend des modalités du départ à la retraite. En cas de départ volontaire, hors de tout plan social, l’indemnité est entièrement soumise à l’impôt sur le revenu. Elle s’ajoute simplement au salaire. En cas de départ volontaire dans le cadre d’un plan social, l’indemnité est entièrement exonérée d’impôt sur le revenu.

Enfin, en cas de mise à la retraite par l’employeur, l’indemnité est exonérée en totalité si elle est inférieure au montant prévu par la loi ou par la convention collective. Si elle est supérieure à ce montant, on choisit le mode de calcul le plus avantageux entre : 50 % de l’indemnité totale ; et le double de la rémunération annuelle brute de l’année précédente, dans la limite de 5 fois le Plafond annuel de la Sécurité sociale.

Autre source d’optimisation, les ressources bénéficiant d’une exonération d’impôt sur le revenu comme, par exemple le minimum vieillesse ou l’allocation personnalisée d’autonomie (Apa), versée aux personnes âgées qui ont besoin d’aide au quotidien ou encore les dépenses de maison de retraite pour les personnes dépendantes qui sont déductibles à 25 %, dans la limite de 2 500 € déduits par an, par personne hébergée. Les dépenses d’adaptation du domicile peuvent donner droit à un crédit d’impôt.

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